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Patrimoine religieux

La Vierge Notre-Dame de Bonne-Garde (Yvoir)

est une statue de marbre qui domine le village. Elle fut offerte après la guerre 1914-1918 par un citoyen canadien pour témoigner sa reconnaissance à la mère du Christ pour la protection accordée au Couvent des Dames du Cénacle (aujourd’hui disparu) dans lequel se trouvait sa sœur.

La grotte Notre-Dame de Lourdes (Yvoir)

est située à l’Institut et est une copie du site de Lourdes.L’église Saint-Fiacre (Dorinne): construite en pierres en 1888-1889 est de style néo-gothique. Saint-Fiacre,patron des jardiniers, est fêté le 30 Août. Il est mort en 670. On l’invoquait pour les coliques. Quant au baume Saint-Fiacre, il s’agit d’un mélange de bouse de vache et d’argile qui sert à recouvrir le tronc des arbres écorchés.

L’église paroissiale Saint-Hubert (Durnal)

est un gros édifice néo-classique en brique et pierre bleue. L’église a été bâtie en 1848

L’église Saint-Fiacre (Dorinne)

construite en pierres en 1888-1889, est de style néo-gothique. Saint-Fiacre, patron des jardiniers, est fêté le 30 Août. Il est mort en 670. On l’invoquait pour les coliques. Quant au baume Saint-Fiacre, il s’agit d’un mélange de bouse de vache et d’argile qui sert à recouvrir le tronc des arbres écorchés.

L’église Saint-Laurent (Evrehailles)

la première église (de style gothique) fut remplacée en 1858 par un édifice de style Renaissance. Elle fut incendiée en 1914 par les Allemands et ensuite reconstruite en 1922 ( elle fut probablement reconstruite sur le site de l’ancien sanctuaire qui fut pendant tout le Moyen-Age une possession de l’Abbaye St Laurent de Liège et qui a laissé son saint patron au village) . Le patron de la paroisse est Saint-Laurent, dont la fête se célèbre le dimanche qui suit le 10 Août.

L’église Saint-Pierre (Godinne)

étroitement imbriquée dans les volumes du château voisin présente des traces d'architecture des styles qui s'échelonnent de l'époque romane à ceux du XIXe s.). Elle fut construite dans les environs de 1500. De petit volume, sur un plan " carré ", elle borde directement la Meuse. Après avoir été endommagée suite une tempête durant la nuit de Pâques en 1606, l’église fut agrandie. Le cimetière attenant est typique. De beaux arbres remarquables rendent le lieu apaisant.

L’église Saint-Barthélemy (Houx)

fut endommagée en 1914-1918 et en 1940-1945. Elle fut restaurée en 1948 grâce au concours du bourgmestre Fovarge. L’église fut construite en pierre et est composée d’une seule nef. A l’intérieur de l’église se trouvent deux pierres tombales de maîtres de forges.

L’église paroissiale Saint Charles Borromée (Mont)

édifice néo-roman en calcaire construit en 1874-1876 sur les plans de l’architecte provincial C.J. Luffin, puis complètement remodelé en 1979-1980 par l’architecte Jean Cosse, qui n’en a gardé que le bas-côté sud, la base de celui du nord et une partie du chœur. Curieux clocher en forme de pyramide tronquée.

L’église paroissiale Saint-Remacle (Purnode)

est un édifice néo-roman en calcaire construit à un nouvel emplacement en 1880-1881.

L’église paroissiale Saint-Georges (Spontin)

édifice en moellons de calcaire, de style gothique, restauré en 1880-1885.

L’église Saint-Eloi (Yvoir)

est un édifice classique bâti en 1761-1763 par le curé Jacques Misson. En 1888, l’église fut doublée par adjonction d’un transept sur les plans de l’architecte namurois L. Lange. Au départ, aucun édifice religieux ne devait exister à Yvoir avant le XVI ème siècle. Les habitants devaient traverser la Meuse et se rendre à Senenne pour y entendre les offices, mais les crues du fleuve leur rendaient l’accès souvent difficile. A leur demande, l’évêque de Liège, Georges d’Autriche, les autorisa le 03 octobre 1556 à ériger dans leur hameau, une chapelle à leurs frais et en dépendance de la paroisse de Senenne. On put désormais y célébrer la messe et les offices divins, administrer les sacrements de baptême, pénitence, eucharistie, extrême-onction et y enterrer, mais pas les mariages. La chapelle fut vraisemblablement construite à l’endroit où se trouve l’église actuelle.

L’église d’yvoir fut agrandie en 1888 et en 1934 pour le cœur. Elle possède une seule nef à toit plat peinte en beige garnie de médaillons comme murs latéraux. Leur base est en marbre. La chaire de Vérité trône toujours à droite du chœur qui possède deux autels : un petit en bois de Jean Wiame à l’avant et une plus grand en marbre à l’arrière. Il est situé près du tabernacle encastré dans le mur. A gauche, on remarque une annexe éclairée par deux petits vitraux très colorés représentant l’Annonciation et l’Assomption de Marie. Elle contient aussi un petit autel en marbre. Cette annexe ne sert qu’à remiser les chaises.

Les larges fenêtres de l’église sont pour la plupart décorées de vitraux datant de 1893. A droite, sont représentés Sainte Cécile, Saint Dominique : don de Mlle Philippine Gravez, Saint Antoine de Renard Davreux, Saint Charles Borrin : don de Ch. Coppin, curé d’Yvoir. 
Dans le chœur, on trouve le grand et beau vitrail de l’Assomption, à gauche Notre-Dame de Lourdes, Sainte Thérèse, Sainte Mélanie ; les autres vitraux ne portent pas d’inscription, deux ont perdu une partie de leur figuration suite aux jeux de balle pelote tout proche.

Près du chœur, à gauche, une pierre scellée dans le pavement évoque la mort de Jacques Dumont, maître de forges " échevin de Bouvignes et des ferons " décédé le 2 mars 1649 à 56 ans. A droite, une autre évoque Damien Demarche " Vicaire et bienfaiteur de cette église " décédé le 6 mai 1751 à 80 ans et une plus petite, le décès de Jean Ruffe " prêtre et maître de forges " âgé de 52 ans mort en 1759. On pouvait donc être prêtre ouvrier mais comme prêtre "  entrepreneur "…
N.B. : Les fonts baptismaux en marbre à l’entrée ne sont plus utilisés suite au cloisonnement des portes d’entrées (il y fait trop froid).

La paroisse est actuellement desservie par l’abbé Anastas Sobwe Kalenda

Le collège Saint-Paul

a été construit de 1925 à 1927 en béton par la Cie de Jésus pour remplacer le pensionnat de Notre-Dame de la paix à Namur devenu insuffisant.

La chapelle Saint-Roch (Durnal)

est un petit édifice néo-classique en moellons de calcaire, excepté la façade en brique et pierre bleue.

La chapelle Saint-Roch (Godinne)

est une bâtisse massive en pierre bleue de 4M sur 3M ouverte par une porte ogive. Elle est seulement éclairée par sa porte en verre car elle ne possède aucune fenêtre.

La chapelle Saint-Barthélemy (Houx)

sanctuaire néo-classique érigé en 1859 en moellons et pierre de taille calcaire. La façade porte une dalla rappelant la destruction de 43 maisons du village en 1914.